A celle qui se reconnaîtra
A toi la fée venue te poser là sur mes
artères obscures tu es lux désormais
tu es l'éphémère ombre à immortaliser
des soleils vagabonds que tu m'as appliqués
las que de langue désuète pour ma belle
elle mérite tellement mieux celle qui
dans ma poitrine a déposé un tel bordel
le pire est qu'elle m'accepte tel que je suis
mes angoisses ? des rires
mes questions ? ses réponses
mon passé ? notre avenir
notre avenir ? en quinconce
je ne t'écrirai pas ces crèmes saupoudrées
celles improvisées au nom de quelque étoile
filante et qui servies au self étaient mort-nées
je ne t'écrirai que l'exquis de notre étoile
tu seras l'épilogue et l'origine
l'ombre et la lumière de chaque rime
le désir et la peur de chaque phrase
car avant toi n'était que paraphrase
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