Dans le ventre du Saint-Gothard
Comme au bal des mariés, muette et langoureuse,
Tournoyait en riant la voie vers l'Italie.
Les arbres en goguette osaient aux heures creuses
Faire aux carrosseries des écarts interdits.
Le monstre Saint-Gothard aux chemins en écailles
Commandait au sommeil d'absorber notre danse
Mais, entre terre et ciel, un refrain loreley
Jamais ne fera taire un regard plein d'alliances.
A relire pour le plaisir : La Loreley, de Guillaume Apollinaire
http://www.toutelapoesie.com/poemes/apollinaire/la_loreley.htm